Insomnies.
Ca
y est. La barre fatidique des six heures est passée, depuis maintenant
deux minutes. Et je ne dors toujours pas. Impossible. Au lieu de ça je
suis tranquillement dans mon lit, avec mon MacBook, à taper cet article.
*Sommeil, viens à moi*
Surtout
que demain je suis censée réviser. Et bosser... Donc me lever. Tôt.
Tant pis, un autre week-end sans dormir ... Plus qu'un mois avant les
vacances. Enfin un peu plus. Mais tant pis.
En plus, là je suis prise par la motivation post création de blog, qui risque de retomber bientôt. Profitez-en, mes loulous (pourquoi loulous ? Et POURQUOI PAS), ça ne saurait durer. Après tout, je suis quelqu'un de volatile (ce que vous risquez de remarquer bien assez tôt, rien que sur le plan de mes déboires et déconvenues amoureuses) qui ne sait pas se fixer. Comme un papillon, gracieux, voletant de fleur en fleur... (Oui, ou un moustique, gracile, bourdonnant de veine en veine, aussi).
Le
truc, c'est que je suis très motivée, mais pas assez inspirée, alors ça
ne suit pas. Donc je pense vous infliger un petit récapitulatif de nos
deux premières semaines de PEC1 (prononcer pékin).
Tout commence avec un looooong monologue, mardi 2 de ce mois, de notre principal adoré sur la beauté spectaculaire des CPGE, dans le sens où nous sommes, comme dit précédemment, l'Elite (avec majuscule). Puis différents monologues professoraux plus rébarbatifs les uns que les autres. Tout ça pour dire que tout a changé. Nous sommes maintenant nobles étudiants et fiers de l'être (ce qui est tout à fait conforme aux mines réjouies qu'on peut lire sur nos joyeux visages). Ah, qu'on est beaux ... Et
occupés ! Pas un seul instant pour souffler ces quinze derniers jours :
versions, thèmes, résumés, maths, maths et encore maths *intense dépression*
Heureusement,
la vie continue son cours, rapidement certes, n'empêche que. Que quoi ?
Que ça fait du bien ! Les études, c'est bien joli, mais y'a le reste
aussi. (Non, ceci n'est pas une phrase tirée d'une chanson salace sur un certain Frankie ... NON J'AI DIT.)
Ah, la vie merveilleuse et fantastique d'une jeune demoiselle comme les autres (mais carrément plus adorable, certes, si vous le dites) !